À SAINT-MÉDARD

 

À SAINT-MÉDARD

— Ô toi, patron béni de nos chastes rosières,
Qui déverses sur nous, trop souvent, tes canaux,
Et fermas, l’autre jour, les écluses d’en haut,
Pour nous faire goûter les brises printanières,
Sois aussi le patron de messieurs Vaissier frères,
Puisque, pour conserver leurs floraisons premières,
Tes vierges, ô bon saint, se baignent au Congo !

Paru le 11 juin 1887 dans La Vie Parisienne.

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