AU SALON DE 1887

 

AU SALON DE 1887

Enfoncés les rapins, leurs couleurs chatoyantes,
Les peaux de satin chair, roses, affriolantes,
Enfoncés les Henner, Carolus, Bouguereau,
Le teint au naturel des femmes élégantes
L’emporte et c’est le fait du Savon du Congo.

Paru le 15 avril dans Le Petit Parisien ;
le 18 avril 1887 dans La Lanterne et Le Petit Troyen.

Notes :

Dans La Lanterne, le poème est par erreur titré « Au Salon de 1877 ».

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