CREDO !
J’ai vu, je crois, je sais, je suis désabusée.
Tout ce que j’employais, jadis, au lavabo,
Pour rendre tout son lustre à ma figure usée
N’est rien auprès du doux et magique Congo !
Paru le 31 mars 1887 dans Le Figaro.
Notes :
Ce quatrain est une parodie de la scène de Polyeucte (V, 3), de Corneille, dans laquelle Pauline exprime sa conversion et s’écrie entre autres :
Je vois, je sais, je crois, je suis désabusée