EFFET IMPRÉVU

 

EFFET IMPRÉVU

Le Congo ne fait pas seulement les mains nettes,
Au ciel même il étend son absolu pouvoir,
Car, on l’a vu, pendant deux jours de fêtes,
Roubaix et tout le Nord, au lieu de leur temps noir,
Ont joui d’un beau soleil, de brises printanières,
Conformément au vœu de Messieurs Vaissier frères.

Paru le 24 mars 1887 dans Gil Blas ;
le 25 avril 1887 dans Le Journal de Roubaix.

 

Notes :

Cf. le poème du 14 février 1887, « La Cavalcade du Congo ».

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