LA CAVALCADE DU CONGO

 

LA CAVALCADE DU CONGO

Il paraît qu’à Roubaix la grande cavalcade
Met tant de joie au cœur de tous les habitants,
Qu’en attendant le Vingt aucun d’eux n’est malade,
Que personne ne meurt et qu’il naît plus d’enfants.

Paru le 28 février 1887 dans Gil Blas.

 

Notes :

Cf. le poème du 14 février 1887, « La Cavalcade du Congo ».

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