PARADIS DE MAHOMET

 

PARADIS DE MAHOMET

Au ballet du Congo, que dans Roubaix en fête,
Le 20 mars, on verra par les rues tournoyer,
Cent cinquante houris, en maillot très léger,
Belles à mettre en feu la plus solide tête,
Jetteront des sequins, des mouchoirs et des fleurs
À la foule haletante : Ah ! taisez-vous, nos cœurs !

Paru le 18 février 1887 dans Gil Blas ;
le 3 mars 1887 dans Le Figaro.

 

Notes :

Cf. le poème du 14 février 1887, « La Cavalcade du Congo ».

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